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Collection polyvalente d'accessoires à sangle pour des plaisirs réalistes et personnalisables.Harnais en néoprène de qualité Ajustable jusqu'à 172 cm de circonférence 3 godes ULTRASKYN Système Vac-U-Lock, fixation facile des accessoires. Lubrifiant Mood à base d'eau, un nettoyant, Ventouse , 3 anneaux supplémentaires pour plus de possibilités.
Gode ventouse très nervuré et flexible.Stimulation réelle de masturbation.
Pas de jaloux ! Ce dildo a été spécialement conçu pour stimuler le Point G et le point P. Son design ergonomique facilite la prise en main et son bout courbé stimule précisément vos zones érogènes.Son silicone ultra-lisse facilite l'insertion et sa ventouse puissante vous permet de le fixer sur n'importe quelle surface plane pour une partie de plaisir...
Dildo noir courbé flexible unisexe :A la fois point P pour les hommes et point G pour les femmes.Taille Medium
Dildo noir courbé flexible unisexe :A la fois point P pour les hommes et point G pour les femmes.Taille Large
Parmi les nombreux sextoys existants, le godemichet (aussi appelé gode ou dildo en anglais) est un modèle particulièrement répandu et reconnu.
Il permet d’imiter la sensation d’un pénis en érection lors de rapport sexuel vaginal, anal ou oral. Les nombreuses déclinaisons disponibles sur le marché suffisent à répondre à bien des fantasmes, tels que la double pénétration ou encore le fait pour une femme de découvrir les sensations qu’offrent un substitut de pénis.
Ainsi, le gode s’adresse aussi bien aux couples hétérosexuels qu’homosexuels, et conviennent également à la masturbation en solitaire.
De plus, le godemichet est sujet à de nombreux fétiches du fait de sa forme phallique capable de transformer, dans une certaine mesure, le corps de la personne qui le porte.
Il n’est ainsi pas rare de le retrouver dans des utilisations diverses, et parfois bien éloignées de la pénétration sexuelle au sens strict. Par exemple, un gode peut être exploité en tant que bâillon pendant vos séances de jeux BDSM, ou encore servir lors de fellations artificielles...
Plusieurs origines possibles au nom du gode ont été découvertes, bien que la plus probable soit l’expression « gaude mihi » provenant du latin médiéval et que l’on peut traduire par « réjouis-moi ».
Cette appellation se serait transformée à travers les époques jusqu’à devenir « godemichou », terme lui-même tronqué en « gode » dans les années 1930.
Des recherches archéologiques effectuées en 2005 ont mené à la découverte d’un objet en pierre dans la grotte de Hohle Fels, en Allemagne. Celui-ci était possiblement destiné à un usage sexuel, en plus de sa fonction d’outil et de représentation phallique.
Cet objet étant daté d’environ 27 000 à 28 000 avant J.-C., il serait donc le plus vieux sextoy découvert à ce jour.
De manière plus tardive, d’autres traces de phallus isolés ou associés à des objets ou des dieux ont été recensées dans l’Egypte ancienne. C’est le cas par exemple des représentations courantes du dieu Osiris, doté d’un sexe géant disproportionné.
De même, les Romains ne sont pas en reste puisqu’on retrouve à travers leur dieu de la fertilité Priape des représentations récurrentes de son gigantesque pénis, constamment en érection. Certains ouvrages de littérature latine attestent par ailleurs l’usage de godemichets dès le IIe siècle avant J.-C..
Au Moyen-Age, les sextoys sont vus d’un mauvais œil par l’Eglise, qui ne conçoit le mariage et la sexualité que pour engendrer de nouveaux Chrétiens. Toute notion de plaisir était alors bannie, et les rapports sexuels strictement limités à la reproduction.
Toutefois, si l’usage du gode est sévèrement réprimé chez les hommes qui gaspilleraient ainsi leur précieuse semence, la pensée chrétienne médiévale considère que cet outil peut éduquer les femmes à contrôler leurs pulsions sexuelles, ce dont elles étaient semble-t-il incapables : preuve en serait de leur incapacité à stopper leurs menstruations. Le frère dominicain Albert le Grand explique ainsi dès le XIIIe siècle les vertus thérapeutiques de la masturbation féminine, permettant d’éviter les adultères et donc les enfants illégitimes.
Si peu de sources évoquent l’utilisation de godemichets au Moyen-Age, quelques registres d’administration de clercs mentionnent des femmes se servant pour leur plaisir de légumes ou d’objets en bois du quotidien. On sait cependant que les populations les plus aisées avaient recours dès le XVe siècle à des sextoys de luxe, témoins d’un certain raffinement.
Ces godemichets étaient achetés chez des verriers, orfèvres ou ébénistes italiens selon la matière souhaitée.
À Londres, on les trouvait dans la boutique de Madame Phillips à Leicester Square, au plein cœur de la ville.
À Paris, c’est chez la « Petite Comtesse » madame Marguerite Gourdan que la plus haute société venait se fournir en sextoys. Mais ces accessoires n’étaient pas réservé qu’à la noblesse, puisque quantité d’abbesses et de nonnes s’équipaient également de « consolateurs », autre nom donné au gode au XVIIIe siècle.
Avec la Révolution Industrielle, le XIXe siècle verra apparaître les premiers sextoys tels que l’on les connaît aujourd’hui grâce à la commercialisation du caoutchouc, permettant la conception de modèles à la fois réalistes et peu chers.
C’est à cette époque que les fabricants commencent à diversifier leur offre, proposant par exemple des doubles godes puis des versions électriques. Ainsi est né le vibromasseur, inventé par le docteur anglais Joseph Mortimer Granville.
De l’Antiquité jusqu’à cette époque, le corps médical (essentiellement masculin) insiste sur la nécessité de soigner l’hystérie, névrose systématiquement attribuée aux femmes. En leur prescrivant des massages vulvaires, on déclenchait sur elles des orgasmes sans pour autant admettre qu’il puisse s’agir d’autre chose que d’un « paroxysme hystérique ».
Aujourd’hui, l’utilisation du godemichet s’est affranchi des préjugés qu’ils servit pendant des siècles et est désormais associé à la libération sexuelle.
Prenez soin de bien nettoyer votre sextoy avant et après chaque utilisation afin de le conserver dans les meilleures conditions possibles.
Utilisez un nettoyant pour sextoy adapté et conservez-le dans un endroit sec et propre, à l’abri de la poussière et des microbes.
Le gode non vibrant permet de se concentrer sur les mouvements de va-et-vient et l’angle de la pénétration. C’est donc un bon choix pour un premier sextoy si vous êtes débutant, car vous découvrirez les sensations qu’offre le gode non vibrant sans être intimidée par d’éventuelles options supplémentaires.
Pensez à bien vous détendre avant votre premier essai. N’hésitez pas à appliquer du lubrifiant en abondance sur votre accessoire, mais aussi sur vos parties génitales.
Au contraire, le gode vibrant comporte différentes options de vibration. Celles-ci sont le plus souvent situées au bout de l’appareil afin de masser le point G, mais parfois aussi à sa base en tant que stimulateur clitoridien.
La plupart des modèles proposent divers rythmes et intensités, ce qui permet de combler l’ensemble des utilisateurs et de répondre à leurs préférences.
Le gode ventouse a l’avantage de laisser les mains libres lors de la pénétration, ce qui laisse le loisir de se caresser les seins, le clitoris ou encore l’anus.
La ventouse se fixe simplement à une surface lisse, permettant d’expérimenter des positions difficiles à mettre en pratique seule telles que la levrette ou l’andromaque. Si vous souhaitez tester cette dernière, fixez la ventouse à un sol en carrelage. Une fois le gode pénétré, effectuez des mouvements de bas en haut et de haut en bas.
Le gode ventouse est donc un bon accessoire pour faire jouer son imagination et varier les positions, mais aussi les lieux !
Bien que certains modèles proposent des vibrations, le gode ventouse non vibrant suffira largement à exploiter tout le potentiel de ce sextoy millénaire. Vous pouvez par exemple goûter à la double pénétration, à la fois anale et vaginale, sur vous ou votre partenaire, mais aussi la pénétration simultanée.
De plus, le potentiel sera multiplié en transformant votre accessoire en gode ceinture. Il vous suffira pour cela de le fixer à un harnais.
Véritable prothèse masculine, le gode ceinture propose aux femmes de pénétrer leur partenaire grâce à un godemichet fixé à un harnais.
Il existe cependant des modèles de strap-on sans harnais, ce qui semble plus naturel aussi bien visuellement que sensiblement.
Les godes métal sont indiqués si vous connaissez déjà bien votre corps et les sextoys les plus répandus. Un gode métal offre en effet des sensations inédites et inégalables, du fait notamment de son poids et de sa matière dure et transparente permettant de voir au travers.
C’est par ailleurs un objet très esthétique, que vous pourrez prendre plaisir à admirer en tant que tel !
Le double gode permet aux partenaires mais aussi aux célibataires d’expérimenter la double pénétration anale et vaginale.
Il est par ailleurs possible de s’adonner à une pénétration simultanée sur les deux amants en même temps, afin de découvrir le sexe sous un nouveau jour et de renforcer votre complicité.
Le gode gonflable est capable d’adopter la taille de votre choix. C’est donc un modèle idéal pour débuter avec un diamètre réduit, quitte à l’augmenter doucement par la suite au fil de vos utilisations.
Le gode spécial point G est, de par sa forme, destiné à stimuler l’intérieur du vagin sur la zone du point G. Il est recommandé pour les utilisations en solitaire, ou centrées sur le plaisir de l’amante.
Si vous êtes adepte de longue date des différents sextoys existants, vous pourriez être tenté de vous prêter au jeu du plaisir anal et vous pencher sur un ou plusieurs plugs anaux.
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